La CSN croit que la démarche dévoilée par le gouvernement du Québec, en prévision du Sommet sur l’enseignement supérieur, permet de poser les jalons nécessaires à la valorisation des collèges et des universités.
La CSN estime qu’il est urgent que le Québec entreprenne une réflexion, afin que l’enseignement supérieur joue pleinement son rôle et contribue au développement, à la création et à la transmission du savoir, mais aussi au développement social.
«Il y a trop longtemps que nous avons eu un véritable débat au Québec sur l’éducation et l’enseignement supérieur, alors que la société a subi d’importantes mutations. Il est plus que temps qu’une étude complète et exhaustive de la gouvernance du financement des universités, en lien avec l’enseignement et la recherche soit effectuée. Nous aurions préféré que cela prenne la forme d’états généraux. Toutefois, la démarche proposée par le ministre Pierre Duchesne et son gouvernement est un pas dans la bonne direction», soutient la vice-présidente, Denise Boucher.
La CSN salue le fait que le Sommet soit l’occasion de débattre de quatre grands thèmes, dont trois concernent l’ensemble de l’enseignement supérieur, à savoir l’enseignement collégial et supérieur.
La CSN représente la majorité des personnels qui œuvrent dans les établissements d’enseignement supérieur. Elle est composée de près de 2000 syndicats et regroupe plus de 300 000 travailleuses et travailleurs réunis sur une base sectorielle ou professionnelle dans huit fédérations. Elle regroupe trois fédérations du réseau de l’éducation, soit la Fédération nationale des enseignantes et des enseignants du Québec (FNEEQ), la Fédération des employées et employés de services publics (FEESP) et la Fédération des professionnèles (FP).
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Service des communications de la CSN
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